jeudi 2 juin 2011

Les filles de joie de la république ?

Quand on veut des «putains de droits», c'est qu'on a des «putains de devoirs» !
Les prostituées manifestent contre la loi.



















 Je ne suis pas convaincu que les prostituées tiennent une comptabilité exacte et déclarée au centime près au fisc, et qu'elles payent des impôts pour l'entretien des trottoirs et l'éclairage des rues....
Si le métier de prostituée devient dangereux, il suffit d'en changer. On manque d'infirmières, de gardiennes de prison....
Mais ce sont des métiers où il faut faire des «putains d'efforts» et avoir une «putain de morale» pour accepter une «putain de vie de merde».
Comme je ne vois pas l'état devenir roi proxénète en contrôlant les chiffres d'affaires de la prostitution pour l'imposer et en prendre une part, je ne pense pas qu'on puisse donner des «putains de droits» à des marginales qui entretiennent les déviances les plus répréhensibles des mâles dans une société où les animaux ont décidé de vivre en commun.

Il n'y a pas de prostitution chez les fourmis ou les abeilles !
Je suis totalement contre ces «putains de filles tristes» et contre le système machiste qui les exploite.
Bruno

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