jeudi 28 novembre 2013

ignoble empreinte carbone des gamers !

Comme quoi le PCET de Toulouse est un peu pipo !
Depuis 2007, la municipalité accepte l’organisation du TGS (Toulouse Game Show).
Article20minutes panoplie geek de rigueur

















Quelle est l’empreinte carbone et donc l’impact environnemental de l’activité des gamers (jeux & loisirs) ?
Est-elle équivalente à celle des restauducoeur qui vont composer cet hiver 130 millions de repas pour les pauvres.































FICHTRE, quelle comparaison de folie !

L’empreinte carbone des restauducoeur est 100 millions de fois positive car pour chaque repas distribué elle créé du bonheur et du soulagement. Et cela calme le climat.
Au contraire, un seul gamer fabrique un seul heureux, le gagnant, et des milliers de râleurs, les perdants. En plus l’industrie des vidéogames exige et exploite des technologies de pointe, bouffeusent de ressources minières de première importance, dont l’extraction coûte « les yeux de la tête » au climat et à la planète. Sans parler de l’énergie électrique dilapidée…

L’égoïsme et l’oisiveté, avec le luxe, tuent la planète à vitesse supersonique.
Et les geek de toulouse y contribuent avec la bénédiction de la municipalité.

Bruno

dimanche 24 novembre 2013

PPRT SNPE (SAFRAN), du balai

Je soutiens l'objectif du 'Collectif Héraklès' d'obtenir le déménagement de cette usine de folie.
Pétition (délai jusqu'au 29 novembre 2013 et la fin de l'enquête publique) pour demander le refus de la validation du PPRT de l'ex usine SNPE, classée SEVESO SEUIL HAUT !.
Mon témoignage:
J'ai travaillé plusieurs mois d'été en tant que lycéen puis étudiant, comme monteur électricien employé par la société Fournie-Grospaud en 1977, 1979 et 1980.
Je crois me souvenir que ce sont les étés 1979 et 1980 où j'ai passé presque un mois à la SNPE, en mission de maintenance des moteurs électriques et des installations (armoires électriques, éclairages...).
J'ai travaillé dans le bâtiment gris de production de la poudre blanche carburant pour ariane. Le chef de chantier, âgé et de Fournié-Grospaud, presque permanent à la SNPE m'a raconté quelques anecdotes. Cette poudre est hautement explosive en contact avec tout ce qui est organique (le bois notamment). Un de ses employés qui suivait un fil électrique en le tenant dans les mains pour le dissocier des autres câbles et le repérer a malheureusement abouti à de minuscules résidus de cette poudre qui se trouvait sous les câbles (comme de la simple poussière). Au contact de l'humidité de ses mains, la poudre a explosé et l'a projeté à 3 mètres...
Dans les autres bâtiments de la SNPE, j'ai vécu 2 fois des alertes au phosgène, et bien senti une fois (à peine le temps de mettre le masque tête d'abeille que nous portions en permanence à la ceinture).
Cette usine dans Toulouse est un non sens criant.
Dans les arguments du Collectif Héraklés, j'y vois en plus le risque d'effet domino avec les ballastières toutes proches.

Avec tout ce que d'autres toulousains connaissent comme moi, l'état conserve ses œillères, il n'y a qu'à voir la masse de documents sur le site ministériel de la DREAL pour comprendre qu'ils veulent maintenir cette poudrière en plein Toulouse. Regardez, tout en bas dans la page de suivi du dossier, la dernière case « approbation » est déjà prévue !!
Il faut les responsabiliser au maximum avec cette pétition pour qu'ils ne puissent pas dire « on ne savait pas... ».
Bruno

mercredi 13 novembre 2013

le nouveau ‘maire’ de la nuit fait une grossière erreur

‘élu’ par 834 noctambules, il propose la rédaction d’un livre blanc.
Voila son incohérence ! Un livre blanc s’associe forcément à la lumière alors que son monde vit dans la pénombre. Il aurait dû l’intituler livre noir.
Et cela n’aurait pas choqué tellement il est ancré dans les esprits que les noceurs nocturnes ont les idées noires et des desseins sombres.
J’ai eu envie de réagir d’autant plus que je viens de lire un passage d’un petit livret Bonne Nouvelle selon Saint Jean où il est question de la lumière (naturelle mais aussi spirituelle).
Et franchement, j’associe sans complexe la noirceur spirituelle à l’absence de lumière
Extrait de la page 10:
« Et voici comment on est condamné : la lumière est venue dans le monde, mais les gens ont préféré la nuit à la lumière parce qu'ils font le mal. Tous ceux qui font le mal détestent la lumière et ils ne vont pas vers la lumière. En effet, ils ont peur qu'on découvre leurs mauvaises actions. Mais ceux qui font la volonté de Dieu vont vers la lumière. Ainsi on voit clairement ce qu'ils font, on voit qu'ils obéissent à Dieu.»

J’espère que Monsieur le maire officiel ne se laissera pas abuser par ce projet de livre blanc. S’il leur prenait l’envie d’insister, je rappelle mes idées à leur soumettre. Puisqu’ils vivent la nuit (même pas 0,1% de la population), ils devraient supporter 99,9% des charges de fonctionnement des infrastructures mises en œuvre pour eux (heu pas l’éclairage des rues puisque c’est pour limiter les infractions qui seraient sinon centuplées dans un contexte de pénombre total) comme par exemple les coûts administratifs de la BAC, ou le nettoyage des rues réceptacles des immondices des noceurs de tout poil. Concernant le bruit de ces noctambules, l’obligation qu’ont les honnêtes gens qui dorment naturellement la nuit de se protéger de ce bruit (fenêtres triple vitrage…) devrait leur être facturé. Comme je ne fais pas du tout partie de cette « clique », je ne vois pas d’autres services qu’ils utilisent mais il me semble avoir lu dans un article qu’ils réclament des services de bus. Au moins je suis sûr d’une chose : jamais ils ne réclameront l’énergie solaire.

Bruno