mardi 9 novembre 2010

Pas de guerre, pas de couvre-feu !

Les riverains de l'aéroport de Blagnac devront initier une petite guerre civile pour obtenir l'arrêt des vols de nuit.

Tristesse de l'économie court terme « scénario moins violent pour la compétitivité de Toulouse-Blagnac », de plus très mauvaise car, « Toulouse va participer à une étude pilote qui doit évaluer l'impact du bruit des avions sur la santé des riverains ».
Enfin, quand avec l'annonce de ses déficits la Grèce va plomber le moral de l'économie mondiale, peut-être que Cocoenvi reverra sa copie.
Pour ma part, je fais une guerre préventive avec le Collectif-Francazal.
Bruno

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